Le point de départ :
La traduction
habituellement publiée : «Que ce soit un cube en deux cubes ou un carré de
carré en carrés
de carré, et en général dans l’infinité, on ne peut partager une puissance supérieure à un carré en deux puissances du même nom.
J’ai une démonstration merveilleuse qui ne tient pas dans la marge».
La première phrase est
la conjecture avancée par Fermat vers 1648. Mais la seconde phrase trop ‘francisée’ est
une incroyable gasconnade
en contradiction manifeste avec sa discrétion notoire et la dignité de sa Charge.
De plus, elle passe sous
silence ce mot important «detexi» qui a deux sens en Latin, comme on va
le voir.
Trois citations latines sont proposées aux amateurs :
- la première vue dans Wikipédia en français (Edition de l'ARITHMETICA de 1621. La page 85 contient le problème ) cite «Cubum autem ... etc, qui à l’évidence signifie le mot Cube.
- la seconde, que montre Wikipédia en anglais (dans une représentation de l'édition de 1670 de l’ARITHMETICA, ) cite «CVbum autem ... etc,
- enfin la troisième que l'on peut trouver dans le livre de Simon Singh qui, lui, cite (page 81) : «Cubem autem ... etc.
Ce premier mot écrit de 3 manières différentes a attiré mon attention. J’ai choisi d'étudier la seconde citation, visible dans la photo de la page 61de l’ARITHMETICA, réédition supervisée par le fils de Fermat 5 ans après la disparition de son père.
I – TRADUCTION.
II – Le CODE était bien de nature typographique
III – Le CODE pour calculer les coefficients
IV – L’IDEE de FERMAT
V – La PREUVE de FERMAT par l’ARITHMETIQUE
VI - CONCLUSION
J’ai donc rouvert mon
vieux Dict. Latin-Français BORNECQUE et CAUËT écorné dans mon enfance.
Voici ce qu’il dit.
I – TRADUCTION .
1/- La première phrase : Elle
commence par la conjecture de Fermat. Seule, la fin nous intéresse :
- «cuius rei») = ce dont, d’après quoi, selon quoi, , ….annonce ce qui découle des mots précédents.
- «demonstrationem
mirabilem» à l’accusatif = l’explication surprenante, la preuve ou
la démonstration étonnante, provient de «mirari» = s’étonner. (et rarement, merveilleux = «mirificus», ni admirable = «admirabilis» ).
- «sane» adv. = sainement. Mais suivi d’un complément (ici de detexi) = entièrement, complètement,
tout à fait.
Mais voici le
plus intéressant :
- Le
verbe «texi» 1° personne du parfait de l’indicatif actif
du verbe tegere, -o, -is, texi, tectum = couvrir, cacher,
donc detexi = j’ai mis au
jour, j’ai rendu visible (qlq chose). Mais «detexi»
est aussi l’infinitif passif
du verbe «detexere , detexui,
detextum» = être tissé, être tressé, entrelacé,…se disait des ouvrages dont les matériaux sont construits
comme les fils d’un tissu. Se traduit le plus souvent par construire
complètement, achever , en évoquant … un tissu.
Alors
Fermat avait-il songé à ce double sens ? Si la preuve nous en était
donnée par lui-même (et
nous verrons qu’elle l’est, mais seulement dans l’ARITHMETICA, et pas dans nos
livres !), cela ne pourrait plus être
caché aux lecteurs, ni aux mathématiciens. Il suffirait de le leur indiquer
entre parenthèses, comme par exemple et
mot à mot :
Ce verbe «detexi», essentiel dans l’esprit de la note, n’a jamais été signalé aux mathématiciens (… ?).
2/- La deuxième phrase :
- Hanc (pronom relatif, à l’accusatif féminin mis pour démonstrationem
= une telle explication, telle
qu’elle est, dans l’état où elle est …
exclut toute
idée de mouvement.
- marginis
(génitif) = 1. de la bordure, de la limite,
2. d’une frontière, 3. d’une marge (mais pas, dans un tissu !)
- exiguitas de exiguus, (rarement exigu, ni étroit = angulus) = 1, la petitesse, la pauvreté, la faiblesse, la médiocrité, l’insuffisance (de qlq chose). 2, la brièveté (du temps). 3, un petit (nombre), une petite (lettre)… etc. Désigne en général… un manque.
- caperet subj. de capere , -io, -is, (au propre et au fig., trad. très variées) = 1, Contenir, ou prendre (qlq chose) 2, Concevoir (dans l’esprit). 3, S’emparer de. 4, Choisir. 5, Obtenir. 6, Séduire. 7, Gagner (un lieu). 8, Etre capable de. 9, Etre atteint de… etc. Donc, «non caperet» = ne contiendrait pas.
Fermat avait donc deux idées !
1 - Celle
d’être ledit ‘Prince des amateurs’ ; un ‘vantard’ aux yeux d’un
traducteur partial. Mot à
mot :
2 - Celle de
‘suggérer’ comme un tisserand, une élégante métaphore de sa preuve mathématique.
Mot à mot :
« Mais que ce soit un cube en 2 cubes ou
bien un carré de carré en 2 carrés de carré et en général dans l’infinité,
aucune puissance supérieure au carré ne peut être partagée en deux du même nom,
ce
dont j’ai entièrement construit
comme un tissu l’explication
surprenante. Le manque de la bordure ne la contiendrait pas.».
On peut donc remarquer que :
1 - Cette inutile galéjade : «J’ai une
démonstration merveilleuse qui ne tient pas dans la marge.» ne
pouvait être ignorée de l’expert en latin qu’était Fermat. De fait, le
Juge (!) rappelle les futurs traducteurs à leur devoir d’impartialité
envers sa note ; ne cacher aucun sens au lecteur, afin qu’il en
décide lui-même.
2 - Fermat nous invite à imaginer un mode de tissage «tout à
fait insuffisant en bordure du tissu», mais dont la construction est aussi
«tout à fait visible» dans le texte. Il faut donc y
rechercher l’existence probable d’un ‘code’ bien visible
… d’association des lettres entre elles. Nous verrons pourquoi il s’agit
des lettres (u)
et (t).
3 - Et s’il suggère sa preuve avec élégance, nous
songerons aussi à ‘la minuscule’ en bordure du texte : «non capere t»
= ne pas contenir l’ultime
minuscule t. Et nous verrons
que la 1ère minuscule (u)
ne convient pas.
4 - Au sens arithmétique, ce texte de
Fermat fait allusion à une «faiblesse numérique, en limite d’une ‘certaine’ expression
mathématique.». (Je ne cherche pas déjà à démontrer ‘le fermat’, mais
toujours l’esprit du code).
Donc, pour découvrir le code de Fermat, il
faut examiner la page 61 de l’ARITHMETICA (la
réédition de 1670) dans laquelle son fils veilla
à ce que les détails de la note fussent tous rigoureusement reproduits
par le typographe de l’époque, son père écrivant que sa démonstration était entièrement
visible. Ainsi prévenu, j’en conclus :
INDICATION
1 de la traduction seule :
II – Le CODE était bien de nature typographique.
Pour savoir ce que Fermat lui-même écrivit, il faut absolument
télécharger son texte, page 61 de l’ARITHMETICA, l’édition de 1670. (cf. Google et Wikipédia. Taper Diophantus-II-8-Fermat.jpg ).
On lit :
Règle : Dans l’ARITHMETICA, le 1° mot d’un nouveau paragraphe a toujours l’aspect mathématique d’une lettre ‘élevée à une puissance’, comme : N EXPOSANT en majuscules droites et strictement. Il en est toujours ainsi au début de chaque paragraphe, qu’il soit écrit en Latin ou en Grec.
On voit que ce 1° mot CVbum fait exception. En effet, en Latin le u minuscule s’écrit V en majuscule. Le typographe devait donc écrire CVBVM, et non pas CVbum. La violation de cette règle était donc volontaire.
L’idée de Fermat : Tirer parti de cette ‘Règle’ «bien visible», pour attirer l’attention sur tous les u. Il faut donc accepter d’entrer dans son ‘jeu de lettres’, pour comprendre ce qu’il entendait par «démonstration inhabituelle, ou surprenante» (et pas, merveilleuse, ni admirable !).
Il y a en effet beaucoup de ‘choses étranges’ dans ce texte … très allusif. Par exemple :
Le sujet du texte est nominis = nom (des puissances > 2). C’est le 21ème mot de ce texte. (Ch n’est pas un mot)
Or,
1 - La lettre u est la 21ème lettre de l’Alphabet, alors que t en est la 20ème.
Je compte donc toutes les lettres (u) et (t), ligne après ligne : 21 lettres u ; voilà qui est «mirabile» !.
Et parce que l’abréviation = et , n’est «visiblement» pas un mot (et), il n’y a que 19 lettres t.
En jouant avec les mots et les lettres, Fermat montre que son codage alphabétique exclut une lettre t. Ce qu’il confirme par non caperet , si l’on veut bien lire : non capere t = ne pas contenir t. Notons aussi que ce t est le dernier mot du texte ; celui de sa limite = «marginis» ; Fermat ‘joue’ avec les lettres.
Il me fallut d’abord confirmer tout cela, avant d’essayer d’y mettre un peu d’ordre. Voici comment :
2 - Eclaircissons l’image.(cliquer dessus avec le bouton de droite, puis cliquer sur ‘Afficher la barre d’outils Image’).
detexi est aussi l’infinitif passif de detexere = être tissé, se traduit par construire, achever complètement un tissu. Nous verrons d’ailleurs que si l’on ne l’achève pas complètement, l’on ne peut pas voir sa preuve.
Le point (.) trop marqué, montre que Fermat avait tenu à rappeler ces 2 sens de la racine « texi.». Le typographe ayant reproduit en 1670 tous les détails visibles dans l’édition qu’avait eue Fermat (avant 1670).
3 - CVbum = cubum = cube (u en majuscule s’écrivant V). Or, dans l’ARITHMETICA, chaque 1° mot d’un nouveau paragraphe doit être écrit en majuscules. Le typographe aurait donc dû écrire CVBVM, mais le fils de Fermat voulut voir tous les détails manuscrits, puisqu’il est dit qu’ils sont «entièrement visibles».
Or : «vltra» et «diuidere» n’existent pas dans le Dictionnaire, mais « ultra» et «dividere». Cela fait toujours 21 u en minuscules italiques. Ainsi Fermat montre que les lettres u et v peuvent se remplacer mutuellement dans n’importe quel mot de l’ARITHMETICA, sauf dans le premier mot ; l’EXPOSANT.
4 - Je compte donc toutes les minuscules u (21ème lettre de l’Alphabet), puisqu’il n’y a qu’une minuscule v.
CVbu1m au2tem in du3os
cu4bos, au5t qu6adratoqu7adratu8m in du9os qu10adratoqu11adratos
Ch generaliter nu12llam in infinitu13m
vltra qu14adratu15m potestatem in du16os eiu17sdem
nominis (21ème mot) fas est diu18idere cu19iu20s rei demonstrationem mirabilem
sane detexi.
Hanc marginis exigu21 itas non caperet. Curieusement, il y a justement 21 lettres u
5 - Ce sigleressemble aussi à Ch tel qu’il pouvait être écrit à la plume, comme detexi. Ici, ce n’est
plus du Latin, mais une image qui rappelle mathématiquement celle de CVbum. Soit alors Ch = Ah +Bh :
«Ch en général
dans l’infinité, aucune puissance….» désigne h (en minuscule) 8ème
lettre de l’Alphabet :
C8 = [ (C2)2
]2 sont «des carrés de carré» dont Fermat
affirme qu’il n’y a aucune solution pour n > 2.
C4 = [ (C2) ]2 est «un
carré de carré» dont Fermat a prouvé qu’il n’y a aucune
solution pour n = 4.
Tenant compte de cette Règle de l’ARITHMETICA, nous verrons ce que la puissance h exige, lorsqu’elle
vaut 2 … dans un exemple que Fermat encode dans ce texte, après avoir conjecturé. voir (8 -).
6 - La note ne montre que 19 fois la lettre t (au lieu de 20). Car n’est «visiblement» pas le mot ‘et’.
CVbum aut1em in duos cubos
,
aut2quadrat3oquadrat4um
in duos quadrat5oquadrat6os
Ch generalit7er
nullam in infinit8um
vlt9ra
quadrat10um
pot11est12at13em
in duos eiusdem
nominis fas
est14 diuidere cuius
rei demonst15rat16ionem mirabilem
sane det17exi.
Hanc marginis exiguit18as non caperet19.
7 - Le hasard ne sachant faire tout cela sans l’aide d’un expert, ces lettres u, t auraient donc un intérêt. De plus, dans l’ARITHMETICA la conjonction vt = comme, de sorte que, s’écrit aussi «ut».(Voir QUÆSTIO VIII).
Alors, je repère ces couples de lettres. Il y a 3 couples dans l’ordre (tu), et 2 couples dans l’ordre (ut) :
CVbum
autem in duos cubos, aut quadratoquadratum
in duos quadratoquadratos
Ch generaliter nullam in infinitum vltra quadratum … ensuite, il n’y a plus d’autre couple.
L’exemple montre ainsi qu’il n’a de solution que si la dernière lettre du texte (t) exclue. Donc, avis !
9 - D’après (4 -),
l’égalité CH = uH
+ tH a des solutions
pour 2 = H en majuscule exigée par le point (.) lui
aussi surchargé. Mais Fermat montre ici que, même si H = 2, les
solutions de l’égalité C2 = u2
+ t2 exigent aussi
d’exclure la lettre (t) située ‘à
la fin’ de sa note’. Mathématiquement parlant cela suggère
que, pour voir sa preuve, le coeff a situé ‘à la fin’
du Tableau de Pascal doit, à tout le moins, être bien étudié.
Or, seuls les coeff a = 1 des termes 1.th (et 1uh) sont «en limite»
de ces triangles. Par suite, s’il fallait que le produit 1.th fût ‘exclu’ pour démontrer
sa conjecture (bien
que le nombre th
ne soit jamais
nul), ce serait son propre coeff. = 1
qui en serait la cause unique. Les indications de sa
note conduisaient à ces questions :
- La preuve de Fermat
serait-elle «entièrement visible» en développant tous les
coeff.a de :
Zn = (z’+z’’)n où Z
= z’ + z’’
dans les ‘triangles’ de Pascal pour tout n entier ?
- La preuve de Fermat proviendrait-elle du dernier coeff unitaire situé «en limite», parce que l’on ne l’obtiendrait pas comme s’obtiennent les autres coeff a qui sont «entrelacés comme les fils d’un tissu» ?.
Ces questions qui découlent de (9 -)
qui découle de (8 -) mettraient donc en cause la
construction du tableau de Pascal, puisque le texte en suggère
une autre ; un mode de tissage !.
Il fallait donc chercher pourquoi le mode de calcul de Pascal «contient» un dernier coeff a = 1 = la dernière lettre t de la note … alors que Fermat dit qu’il ne le faut pas. Cela devenait très très intéressant !
INDICATION 2, du code seul :
III – LE CODE : Calculer les coeff. a (n, i) , oui, mais … en diagonale.
La note est «visiblement»
encodée par Fermat. (Il
‘aurait travaillé’ pour le Bureau du Chiffre, sous Mazarin.).
NB :
Ne compter ces lettres (t) et (u) que dans la note en Latin (et pas dans sa
traduction en Français ou en Anglais).
Regroupons les 10 remarques précédentes
:
Or, le sujet du texte est «nominis» = patronyme, le nom des exposants entiers supérieurs à 2. Et, c’est le 21ème mot de ce texte, dans lequel figure 21 fois la lettre (u) qui est la 21ème lettre de l’alphabet.
On a vu qu’il manque 1 lettre (t) qui est la 20ème lettre de l’alphabet. Et nous avons vu que :
- Il y a 5 couples de lettres «sane detexi» de detegere = tout à fait visibles : 3 couples (tu), 2 couples (ut),
Si Fermat avait «complètement enchevêtré deux fils rouges et bleus pour construire un tissu, on voit comment les ‘points d’arrêt (pour chaque puissance n) sont entrelacés … en bordure («marginis»), avec 3 (t,u) et 2 (u, t) :
Mais pour que cette surface
ressemble à un triangle-rectangle (car il s’agit bien dudit ‘triangle’ de Pascal), il faut que le fil (t) qui se trouve en limite à droite ne provienne
de nulle part (?), c’est le constat
auquel conduit «detexui.» au parfait.
INDICATION
3 :
IV – L’IDEE de FERMAT
Or, la méthode de Pascal n’est une addition que de 2 termes : elle ne fait intervenir que la puissance (n-1). Ce n’est donc pas l’idée de Fermat qui avait sa propre méthode pour trouver ces mêmes coeff. a(n, i) de (u+t)n .
Les deux coeff a
= 1, de 1.u0tn
ou de 1.t0un
pouvant (l’un des deux) être ce
«petit nombre de la limite», j’en déduis que l’essentiel de son
explication tient en ce qu’elle «ne saurait contenir» à
la fois un et
tn, et que c’est sur ce point précis que je devais
porter mon attention, puisque la conjecture n’exige que leur somme.
Alors puisque ce sont deux entiers variant avec n, posons par ex
: 1 < z’ < z’’ < (z’ + z’’) quelconques = Z.
Et, indépendamment de Z,
posons aussi : 1 < t’ < t’’
< (t’
+ t’’)
‘quelconques’
= T.
(0, 1, 2, ..,
n-2, n-1, n).
En incrémentant les valeurs de j,
on retrouve les a(n, i).
Alors comparons les deux méthodes :
V – La PREUVE de
FERMAT par l’ARITHMETIQUE
Soient donc 2 entiers non nuls z’ et z’’ tels que z’ + z’’ = Z entier, et
les coeff.a de : (z’+z’’)n = Zn
NB 2 : Il ne
peut donc pas y avoir de solution à : Zn = z’n
+ z’’n pour
n > 1. Seulement pour n = 1.
Observons le tableau Fig 2 :
Ce
tableau étant unique, extrayons les coeff.
a = 1
et n , puisque sa démonstration
«ne contient pas les nombres (1?)
hors limite» et qu’elle ne concerne que
n.
Ce binôme de Zn peut s’écrire dans ce cas :
L’idée de Fermat :
« Puisque Zn = z’n
+ z’’n ne peut avoir de solution que pour
n = 1, alors essayon de substituer un autre
binôme ¹ 0, par
ex. Tn = (t’ + t’’)n,
à cette somme (z’n + z’’n)
pour voir si «l’on peut oui
ou non partager
Tn en (z’n + z’’n)
¹ 0», mais
seulement pour n > 3, d’après cette
(En effet, si l’on arrêtait le développement à : donc pour n ≥ 2, on ne verrait pas ces 2 coefficients a (n, 1) et a (n, n-1) pour la puissance n concernée et qu’elle seule définit.).
Comparer Tn ¹ 0 à cette somme (z’n + z’’n)
dans laquelle (z’+z’’) ne peut égaler
T, exige donc 3 cas :
- Les 2 cas : Tn > ou < (z’n + z’’n) ¹ 0. Alors : Tn = z’n + z’’n est évidemment sans solution, passons.
NB
:
Depuis plus de 3 siècles, les avis les plus compétents sont partagés : «On doute que Fermat savait démontrer ce qu’il avançait». Mais l’on pouvait, une loupe à la main, lire l’ARITHMETICA accompagné d’un typographe et d’un Pr de Latin pour expertiser cette nouvelle traduction.
C’est pourquoi je me permets, bien modestement, de poser cette question qui me semble logique … et à toutes les époques ! :
- Si la réponse était Oui, les livres diraient que : «Fermat savait démontrer simplement ce qu’il avançait».
- Si la réponse était Non, merci pour un corrigé n’utilisant que les ‘outils’ mathématiques du XVII siècle.
Les mathématiciens sauraient alors démontrer que Fermat s'est dupé lui-même, comme l'a déclaré le Professeur A. Wiles. Mais l’on ne douterait plus.
Merci de bien vouloir, dès que possible, me faire l’honneur d’un avis, d’un corrigé.
Bien sincèrement et très respectueusement,
Roland FRANQUART
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Dernière mise à jour du site : 22/07/2011 11:45 (Chap IV fig-1-c)
© Roland Franquart, 2011.
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